Donner de son temps aux autres
comme un appel de Dieu « riche en miséricorde »
Donner de son temps aux autres a toujours été pour moi une évidence. Venant habiter, il y a quelque temps, près de Lourdes, c’est tout naturellement que j’ai désiré aider les malades, nombreux, qui viennent dans cette cité.
Ce besoin naturel à aller vers l’autre m’apparaît comme un appel de Dieu « riche en miséricorde » (Ep 2, 4) qui attend de moi, par mon baptême, une mission.
Ainsi, un sourire, un regard échangé, c’est ma manière d’accueillir les malades et de les mettre en confiance. Comment ne pas être sensible à la dignité, à la ferveur, et même bien souvent à la sérénité de toutes les personnes malades qui viennent, à Lourdes, accomplir un acte de foi ? Invitation à « accompagner » chacun, chacune, en douceur, avec discrétion et charité, en respectant leur sensibilité, leur cheminement, leurs questionnements.
Être 'des mains miséricordieuses', offrir un sourire, une oreille qui écoute. Recevoir, partager, rire, et cet échange devient alors communion, espérance et bonheur.
Ce temps partagé avec un malade est une source inépuisable de richesses humaines. C’est un accueil de l’évangile en faisant nôtre le message du Seigneur : « Ce que vous avez fait au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous l’avez fait » (Mt 25, 40).
Anne Sophie
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Ce besoin naturel à aller vers l’autre m’apparaît comme un appel de Dieu « riche en miséricorde » (Ep 2, 4) qui attend de moi, par mon baptême, une mission.
Ainsi, un sourire, un regard échangé, c’est ma manière d’accueillir les malades et de les mettre en confiance. Comment ne pas être sensible à la dignité, à la ferveur, et même bien souvent à la sérénité de toutes les personnes malades qui viennent, à Lourdes, accomplir un acte de foi ? Invitation à « accompagner » chacun, chacune, en douceur, avec discrétion et charité, en respectant leur sensibilité, leur cheminement, leurs questionnements.
Être 'des mains miséricordieuses', offrir un sourire, une oreille qui écoute. Recevoir, partager, rire, et cet échange devient alors communion, espérance et bonheur.
Ce temps partagé avec un malade est une source inépuisable de richesses humaines. C’est un accueil de l’évangile en faisant nôtre le message du Seigneur : « Ce que vous avez fait au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous l’avez fait » (Mt 25, 40).
Anne Sophie