Médecin généraliste
Il m’aide à toujours vous respecter
Médecin généraliste, je suis, comme on le dit, un médecin de famille qui fait partie de l’entourage familier. Intégré à la vie de tous les jours de tous et chacun, je suis avec vous, dans les moments de joie : naissances, guérisons, mais aussi et surtout avec vous dans les moments où vous souffrez et où vous avez besoin d’aide. Auprès de vous, de l’aube au coucher du soleil, je me rends disponible pour soulager, aider.
A la fin de mes études, j’ai prononcé, comme des milliers d’autres médecins, et comme l’exige l’éthique de notre profession, le serment d’Hippocrate, vieux de 2 400 ans mais toujours d’actualité.
Médecin, je pense que pour élever ce métier au niveau d’un art, il faut quelque chose de plus que la connaissance et la technique. Voici en quelques lignes « Celui » qui fait la différence, que les autres ne voient pas forcément mais qui est au fond de moi, dans tous les moments de ma vie, spécialement lorsque moi aussi je souffre :
Il m’aide à toujours vous respecter dans votre être, dans vos désirs, dans vos croyances, à vous soigner qui que vous soyez. Il m’aide à vous écouter, à vous entendre dans et à travers vos demandes.
Il m’aide à bien vous prendre en charge les jours où j’ai d’autres préoccupations.
Il m’aide à avoir plus de patience lorsque les journées sont longues et que vous abusez un peu de mon temps. Je ne le porte pas, c’est Lui qui me soutient.
Il est toujours présent lorsque je souffre à mon tour et que j’ai besoin d’aide : je ne suis pas un surhomme et il m’arrive plus souvent que vous ne le pensez d’avoir des doutes sur l’efficacité de mon action, de savoir si je vous ai bien entendu, de me décourager devant la maladie qui progresse malgré tous mes efforts, il m’arrive aussi de penser que parfois la maladie ou la mort atteignent injustement certains êtres.
A ces moments-là, Tu es toujours auprès de moi, flamme réconfortante pleine de foi.
Tant que Tu seras en moi et que Tu m’accompagneras sur les chemins de la vie je sais que je pourrai continuer à exercer l’art de la médecine.
Luc
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A la fin de mes études, j’ai prononcé, comme des milliers d’autres médecins, et comme l’exige l’éthique de notre profession, le serment d’Hippocrate, vieux de 2 400 ans mais toujours d’actualité.
Médecin, je pense que pour élever ce métier au niveau d’un art, il faut quelque chose de plus que la connaissance et la technique. Voici en quelques lignes « Celui » qui fait la différence, que les autres ne voient pas forcément mais qui est au fond de moi, dans tous les moments de ma vie, spécialement lorsque moi aussi je souffre :
Il m’aide à toujours vous respecter dans votre être, dans vos désirs, dans vos croyances, à vous soigner qui que vous soyez. Il m’aide à vous écouter, à vous entendre dans et à travers vos demandes.
Il m’aide à bien vous prendre en charge les jours où j’ai d’autres préoccupations.
Il m’aide à avoir plus de patience lorsque les journées sont longues et que vous abusez un peu de mon temps. Je ne le porte pas, c’est Lui qui me soutient.
Il est toujours présent lorsque je souffre à mon tour et que j’ai besoin d’aide : je ne suis pas un surhomme et il m’arrive plus souvent que vous ne le pensez d’avoir des doutes sur l’efficacité de mon action, de savoir si je vous ai bien entendu, de me décourager devant la maladie qui progresse malgré tous mes efforts, il m’arrive aussi de penser que parfois la maladie ou la mort atteignent injustement certains êtres.
A ces moments-là, Tu es toujours auprès de moi, flamme réconfortante pleine de foi.
Tant que Tu seras en moi et que Tu m’accompagneras sur les chemins de la vie je sais que je pourrai continuer à exercer l’art de la médecine.
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