Mère de Miséricorde donnait
à nouveau du sens à mon choix de garder l’enfant
… j’avais alors 19 ans.
En lycée professionnel, j’avais la vie devant moi, profitais de chaque moment, brûlait le temps en même temps que mes cigarettes… J’étais heureuse, je travaillais dans une grande surface où j’avais de bonnes relations et le reste du temps, je le passais à l’école où nous étions une équipe de bons vivants faisant régulièrement la fête. Je suis tombée sous le charme d’un motard tout mon opposé, gueule d’ange pas très sage…
Terreur. La gynéco m’explique que je ne peux absolument pas le garder. Il fallait que je pense à moi et à mon avenir. Que de pleurs !
Rentrée chez moi, Maman m’ouvre la porte et je le lui apprends. Ce n’est pas le rêve pour elle, mais pour moi, avoir dévoilé la vérité me remplit de force, et sans me l’exprimer, je suis convaincue que cette vie est un don et que je dois la protéger. Le père de l’enfant ne veut rien entendre : « L’avortement n’est pas fait pour les chiens ». C’était le point de vue de tous : professeurs, amis, médecins du planning familial… Seul le directeur du magasin où je travaillais a cherché à me rassurer sur mon choix, me disant que j’avais raison de choisir la vie.
Cependant, à la maison, la situation était tendue ; mon père m’a d’ailleurs, par écrit, demandé de la quitter. Mes parents ont balisé la route, en me parlant d’une association dont ils avaient entendu parler : Mère de Miséricorde.
Je suis restée jusqu’au dernier mois de grossesse dans cette famille formidable ; puis, en lien avec l’association, j’étais hébergée dans un immeuble qui mettait à disposition des appartements pour les mamans. Mon fils né en juin, un appartement s’y libérait en septembre : Mère de Miséricorde donnait à nouveau du sens à mon choix de garder l’enfant, et je l’aimais déjà tellement ! C’était un bébé magnifique ; la grâce du pardon a opéré, le charme d’un bébé aussi, et mon père a rapidement pris son rôle à cœur, au point de devenir son parrain. Mon fils a été l’élément fédérateur de la famille, il nous a réconciliés et permis de traverser des épreuves grâce à sa joie de vivre et sa présence si pure.
Il a 26 ans aujourd’hui, c’est un beau jeune homme plein de projets.
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Mère de Miséricorde donnait
à nouveau du sens à mon choix de garder l’enfant
… j’avais alors 19 ans.
En lycée professionnel, j’avais la vie devant moi, profitais de chaque moment, brûlait le temps en même temps que mes cigarettes… J’étais heureuse, je travaillais dans une grande surface où j’avais de bonnes relations et le reste du temps, je le passais à l’école où nous étions une équipe de bons vivants faisant régulièrement la fête. Je suis tombée sous le charme d’un motard tout mon opposé, gueule d’ange pas très sage…
Terreur. La gynéco m’explique que je ne peux absolument pas le garder. Il fallait que je pense à moi et à mon avenir. Que de pleurs !
Rentrée chez moi, Maman m’ouvre la porte et je le lui apprends. Ce n’est pas le rêve pour elle, mais pour moi, avoir dévoilé la vérité me remplit de force, et sans me l’exprimer, je suis convaincue que cette vie est un don et que je dois la protéger. Le père de l’enfant ne veut rien entendre : « L’avortement n’est pas fait pour les chiens ». C’était le point de vue de tous : professeurs, amis, médecins du planning familial… Seul le directeur du magasin où je travaillais a cherché à me rassurer sur mon choix, me disant que j’avais raison de choisir la vie.
Cependant, à la maison, la situation était tendue ; mon père m’a d’ailleurs, par écrit, demandé de la quitter. Mes parents ont balisé la route, en me parlant d’une association dont ils avaient entendu parler : Mère de Miséricorde.
Je suis restée jusqu’au dernier mois de grossesse dans cette famille formidable ; puis, en lien avec l’association, j’étais hébergée dans un immeuble qui mettait à disposition des appartements pour les mamans. Mon fils né en juin, un appartement s’y libérait en septembre : Mère de Miséricorde donnait à nouveau du sens à mon choix de garder l’enfant, et je l’aimais déjà tellement ! C’était un bébé magnifique ; la grâce du pardon a opéré, le charme d’un bébé aussi, et mon père a rapidement pris son rôle à cœur, au point de devenir son parrain. Mon fils a été l’élément fédérateur de la famille, il nous a réconciliés et permis de traverser des épreuves grâce à sa joie de vivre et sa présence si pure.
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