Congrès Miséricorde France

"La Miséricorde de Dieu est pour tous" - Pape François

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visages2021-2

Jésus, j’ai confiance en Toi
L’image de Jésus miséricordieux - une personne malade


Je visite régulièrement les malades. Le Dimanche de la Miséricorde 2017, le service de l’hôpital m’appelle en urgence. J’arrive et on m’explique qu’une dame très croyante va être transférée, le lendemain, en soins palliatifs, car l’équipe médicale a pris la décision, devant la gravité de son problème de santé, de ne pas poursuivre les soins. Tous savaient qu’elle décéderait dans les jours suivants.

Je rencontre cette dame. Très, très souffrante, elle est assise, dans son fauteuil, perdue au milieu de ses coussins, comme un petit oiseau, sans force, et amaigrie. Elle ne trouve pas de bonne position et, régulièrement, pose la tête sur la table devant elle, sur un coussin disposé spécialement.

Je parle un peu, avec elle ; je l’écoute, lui tiens la main, lorsqu’un nouvel accès de douleur l’atteint. A un moment, elle pose sa tête sur son coussin et me dit tout à coup, avec force : « Donnez-moi une image sainte s’il vous plait ! »

Je n’ai rien sur moi. J’ai seulement un livret de la Neuvaine à la Miséricorde Divine, de sainte Faustine, avec Jésus miséricordieux, en couverture. En effet, je venais juste de terminer cette Neuvaine à la Miséricorde, avant de venir. La dame se saisit du livret, regarde Jésus, et pose subitement sa tête, puis sa joue, contre Lui. Je la laisse un moment… puis je vais chercher ses filles restées à l’extérieur de la chambre.

Ses enfants souffrent de voir leur maman, dans un tel état, et souffrent de savoir que ses jours lui sont comptés. J’ose leur proposer de prier, ensemble, une dizaine de chapelet. Leur maman prie aussi avec nous et relève la tête. L’une de ses filles voit alors le livret, regarde l’image de Jésus miséricordieux, et dit : « Ah oui ! Il faut avoir confiance. C’est ça, Jésus, j’ai confiance en Toi ». Et ajoute « C’est vrai, cette phrase écrite ici ‘Jésus, j’ai confiance en Toi’. Mais, c’est tellement dur. Nous avons perdu notre frère, âgé de neuf ans. Depuis, la foi, c’est difficile, mais maman a tenu, grâce à sa foi. »

Je reste deux heures avec cette famille éprouvée. Je suis sûre que Dieu est au milieu de nous ; c’est palpable.

Cette dame décède trois jours plus après.

Personnellement, j’accompagne les malades en fin de vie ou décédés, en priant le chapelet de la Miséricorde. « Oui, Jésus, j’ai confiance en Toi ».

Catherine C.



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Jésus, j’ai confiance en Toi
L’image de Jésus miséricordieux - une personne malade


Je visite régulièrement les malades. Le Dimanche de la Miséricorde 2017, le service de l’hôpital m’appelle en urgence. J’arrive et on m’explique qu’une dame très croyante va être transférée, le lendemain, en soins palliatifs, car l’équipe médicale a pris la décision, devant la gravité de son problème de santé, de ne pas poursuivre les soins. Tous savaient qu’elle décéderait dans les jours suivants.

Je rencontre cette dame. Très, très souffrante, elle est assise, dans son fauteuil, perdue au milieu de ses coussins, comme un petit oiseau, sans force, et amaigrie. Elle ne trouve pas de bonne position et, régulièrement, pose la tête sur la table devant elle, sur un coussin disposé spécialement.

Je parle un peu, avec elle ; je l’écoute, lui tiens la main, lorsqu’un nouvel accès de douleur l’atteint. A un moment, elle pose sa tête sur son coussin et me dit tout à coup, avec force : « Donnez-moi une image sainte s’il vous plait ! »

Je n’ai rien sur moi. J’ai seulement un livret de la Neuvaine à la Miséricorde Divine, de sainte Faustine, avec Jésus miséricordieux, en couverture. En effet, je venais juste de terminer cette Neuvaine à la Miséricorde, avant de venir. La dame se saisit du livret, regarde Jésus, et pose subitement sa tête, puis sa joue, contre Lui. Je la laisse un moment… puis je vais chercher ses filles restées à l’extérieur de la chambre.

Ses enfants souffrent de voir leur maman, dans un tel état, et souffrent de savoir que ses jours lui sont comptés. J’ose leur proposer de prier, ensemble, une dizaine de chapelet. Leur maman prie aussi avec nous et relève la tête. L’une de ses filles voit alors le livret, regarde l’image de Jésus miséricordieux, et dit : « Ah oui ! Il faut avoir confiance. C’est ça, Jésus, j’ai confiance en Toi ». Et ajoute « C’est vrai, cette phrase écrite ici ‘Jésus, j’ai confiance en Toi’. Mais, c’est tellement dur. Nous avons perdu notre frère, âgé de neuf ans. Depuis, la foi, c’est difficile, mais maman a tenu, grâce à sa foi. »

Je reste deux heures avec cette famille éprouvée. Je suis sûre que Dieu est au milieu de nous ; c’est palpable.

Cette dame décède trois jours plus après.

Personnellement, j’accompagne les malades en fin de vie ou décédés, en priant le chapelet de la Miséricorde. « Oui, Jésus, j’ai confiance en Toi ».

Catherine C.



 
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