Congrès Miséricorde France

"La Miséricorde de Dieu est pour tous" - Pape François

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visages2021-1

Après plus de 25 ans, hors de l’Église
j’ai fait l’expérience de la Miséricorde du Seigneur


Ce rayonnement de l’infinie Miséricorde du Seigneur qui jaillit de son Cœur, je le vis tout simplement dans ma vie quotidienne, par la prière et des petits riens.
--------------

J’ai goûté la Miséricorde, la Bonté de Dieu

Après plus de 25 ans hors de l’Église, j’ai fait l’expérience de la Miséricorde du Seigneur. J’ai goûté sa Miséricorde, « combien le Seigneur est bon », comme le chante le psalmiste. Dieu m’attendait, comme un Bon Père aimant, sans reproches. Il attendait mon regard de confiance en Lui.

C’est par un long chemin de pardon, un chemin de guérison que j’ai dit « OUI ». Tout d’abord, timidement, j’ai accepté de déposer ma main dans celle du Seigneur, dans le silence d’une retraite solitaire chez une communauté bénédictine, puis, plus fermement, au cours d’une retraite à Issoudun animée par un Père missionnaire du Sacré-Cœur.

Lors d’un été, mon filleul s’est marié à Cracovie. Je ne me suis guère préoccupée de son éducation chrétienne, étant hors de l’Église. A l’occasion de ce mariage, des cousins de la marié polonaise m’ont fait découvrir le sanctuaire de Lagiewniki. Agenouillée devant l’icône du Christ miséricordieux, je lui ai remis mon passé, mon présent, et mon avenir.

La lecture de la Parole de Dieu devient pain quotidien et la participation aux sacrements l’incontournable Indispensable pour me laisser façonner par le Seigneur. J’aime prier, chaque jour, le chapelet de la Miséricorde, en confiant à Sa Miséricorde spécialement les personnes qui, dans le monde, ne connaissent pas Dieu ou lui sont indifférentes.

L’expérience de la Joie de la Miséricorde du Seigneur pousse au désir de la partager, la rayonner.Ce rayonnement de l’infinie Miséricorde du Seigneur qui jaillit de son Cœur, je le vis tout simplement dans ma vie quotidienne, par la prière et des petits riens : le sourire, l’écoute ou la promptitude à rendre service avec mes proches, mes voisins et sur mon lieu de travail.

Vivre de la Miséricorde Divine au quotidien

C’est être accueil, le cœur tout pauvre. Ainsi, une voisine m’interpelle souvent pour l’aider à rédiger ses lettres administratives ou autres. Peu à peu, je lui suis devenue plus qu’une voisine, une confidente, une intercesseure auprès du Seigneur. Elle et sa famille bien que baptisés ne vont pas à l’église, mais elle me demande parfois de prier pour elle. Et tout récemment, devant une difficulté, elle m’a dit que son mari lui a dit qu’il est rentré dans une église allumer un cierge…

C’est accompagner la maman âgée d’une amie, qui, seule, a du mal à faire ses courses alimentaires. La dépendance des êtres fragilisés est icône de notre pauvreté et de notre dépendance à notre Père du Ciel.

C’est une parole de douceur, un rire partagé dans le stress du travail. C’est ne pas répondre aux paroles méchantes sur le même ton pour ne pas grossir leur flux.

C’est une écoute patiente. L’école du service est une écoute de l’autre patiente, lorsque le prochain démuni, tout meurtri, ne cesse de se répéter, comme un disque rayé. Être simplement là, toute ouïe, tout tourné vers celui, celle qui a mal, qui est dans le besoin. Et quand nos moyens limités ne peuvent apporter remède, nous confier à la douceur de la Miséricorde Divine et intercéder. Prier l’Esprit Saint pour que le Père des Miséricordes vienne opérer et œuvrer aussi en nous, par son Fils Jésus Christ.

« Rendez grâce au Seigneur : il est bon ! Éternelle est sa Miséricorde ! » (1 Chroniques, 16, 34)

Marie Agnès



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Après plus de 25 ans, hors de l’Église
j’ai fait l’expérience de la Miséricorde du Seigneur


Ce rayonnement de l’infinie Miséricorde du Seigneur qui jaillit de son Cœur, je le vis tout simplement dans ma vie quotidienne, par la prière et des petits riens.
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J’ai goûté la Miséricorde, la Bonté de Dieu

Après plus de 25 ans hors de l’Église, j’ai fait l’expérience de la Miséricorde du Seigneur. J’ai goûté sa Miséricorde, « combien le Seigneur est bon », comme le chante le psalmiste. Dieu m’attendait, comme un Bon Père aimant, sans reproches. Il attendait mon regard de confiance en Lui.

C’est par un long chemin de pardon, un chemin de guérison que j’ai dit « OUI ». Tout d’abord, timidement, j’ai accepté de déposer ma main dans celle du Seigneur, dans le silence d’une retraite solitaire chez une communauté bénédictine, puis, plus fermement, au cours d’une retraite à Issoudun animée par un Père missionnaire du Sacré-Cœur.

Lors d’un été, mon filleul s’est marié à Cracovie. Je ne me suis guère préoccupée de son éducation chrétienne, étant hors de l’Église. A l’occasion de ce mariage, des cousins de la marié polonaise m’ont fait découvrir le sanctuaire de Lagiewniki. Agenouillée devant l’icône du Christ miséricordieux, je lui ai remis mon passé, mon présent, et mon avenir.

La lecture de la Parole de Dieu devient pain quotidien et la participation aux sacrements l’incontournable Indispensable pour me laisser façonner par le Seigneur. J’aime prier, chaque jour, le chapelet de la Miséricorde, en confiant à Sa Miséricorde spécialement les personnes qui, dans le monde, ne connaissent pas Dieu ou lui sont indifférentes.

L’expérience de la Joie de la Miséricorde du Seigneur pousse au désir de la partager, la rayonner.Ce rayonnement de l’infinie Miséricorde du Seigneur qui jaillit de son Cœur, je le vis tout simplement dans ma vie quotidienne, par la prière et des petits riens : le sourire, l’écoute ou la promptitude à rendre service avec mes proches, mes voisins et sur mon lieu de travail.

Vivre de la Miséricorde Divine au quotidien

C’est être accueil, le cœur tout pauvre. Ainsi, une voisine m’interpelle souvent pour l’aider à rédiger ses lettres administratives ou autres. Peu à peu, je lui suis devenue plus qu’une voisine, une confidente, une intercesseure auprès du Seigneur. Elle et sa famille bien que baptisés ne vont pas à l’église, mais elle me demande parfois de prier pour elle. Et tout récemment, devant une difficulté, elle m’a dit que son mari lui a dit qu’il est rentré dans une église allumer un cierge…

C’est accompagner la maman âgée d’une amie, qui, seule, a du mal à faire ses courses alimentaires. La dépendance des êtres fragilisés est icône de notre pauvreté et de notre dépendance à notre Père du Ciel.

C’est une parole de douceur, un rire partagé dans le stress du travail. C’est ne pas répondre aux paroles méchantes sur le même ton pour ne pas grossir leur flux.

C’est une écoute patiente. L’école du service est une écoute de l’autre patiente, lorsque le prochain démuni, tout meurtri, ne cesse de se répéter, comme un disque rayé. Être simplement là, toute ouïe, tout tourné vers celui, celle qui a mal, qui est dans le besoin. Et quand nos moyens limités ne peuvent apporter remède, nous confier à la douceur de la Miséricorde Divine et intercéder. Prier l’Esprit Saint pour que le Père des Miséricordes vienne opérer et œuvrer aussi en nous, par son Fils Jésus Christ.

« Rendez grâce au Seigneur : il est bon ! Éternelle est sa Miséricorde ! » (1 Chroniques, 16, 34)

Marie Agnès



 
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