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"La Miséricorde de Dieu est pour tous" - Pape François

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billetmois2023-4

Pèlerinage Miséricorde Ta Parole fait mes délices
Nous sommes des voyageurs sur terre Marie Cécile Dugué

Pèlerinage

Le mot pèlerin vient du latin peregrinus qui signifie l’homme qui parcourt, celui qui passe. C’est souvent sur la route, hors de leurs maisons, que le Seigneur fait signe à des hommes et des femmes, dans le Premier et le Nouveau Testament.

Le pèlerinage symbolise notre vie. Il est comme une métaphore qui nous rappelle que nous sommes des « voyageurs sur terre » (He 11, 13), en route vers la Jérusalem céleste, où Dieu nous attend.

Le pèlerinage est pour Dieu (cf. Ex 23, 14) qui nous a faits pour Lui : « Tu nous as fait pour toi, Seigneur, et notre cœur est sans repos tant qu’il ne demeure en Toi » (St Augustin - Les Confessions, I, 1).

Le pèlerinage est une expérience d’Église. Nous aurons l’occasion d’échanger, de nous émerveiller de ce que l’un ou l’autre vit au sein de sa famille, paroisse, quartier, travail, Visage de Miséricorde. Dans tel ou tel lieu, nous retrouverons d’autres chrétiens et nous rencontrerons des résidents du pays.

En Terre Sainte


Le début des pèlerinages vers la Terre Sainte remonte au début du IVe siècle. Au long des siècles, chaque pèlerin met ses pas dans ceux d’autres venus avant lui.

La spiritualité du chemin, celle de l’homme en marche s’enracine dans toute l’histoire du Peuple élu depuis Abraham prenant la route pour un pays qu’il ne connait pas, répondant avec confiance à l’Appel de Dieu. 


Les Juifs allaient, chaque année, en pèlerinage, à Jérusalem, fêter la Pâque au Temple, lieu où Dieu a choisi d’y faire habiter sa présence. Jésus lui-même accomplit plusieurs fois ce pèlerinage vers Jérusalem, haut lieu de la rencontre entre Dieu et l’homme ; « on appelle Sion : « Ma mère ! » car en elle, tout homme est né » (Ps 86, 5).

Miséricorde - Ta Parole fait mes délices

La Miséricorde de Dieu est pour tous. Jésus, le Visage de la Miséricorde, et les apôtres parcouraient les routes de Palestine, pèlerins infatigables, pour que tout homme, toute femme, tout enfant se sachent aimés de Dieu.

Pérégriner, Bible en main, aux lieux où La miséricorde de Dieu s’est révélée. Nous laisser saisir par la Beauté de Dieu « riche en Miséricorde » (Ep 2, 4), en sa création.

Chaque jour, les conférences du cardinal Philippe Barbarin nous permettront de découvrir la Miséricorde de Dieu à travers un parcours biblique. Celui « qui fait ses délices » de la Parole de Dieu, c’est-à-dire la médite et la met en pratique sera visité par l’Amour miséricordieux de Dieu.  Nos frères aînés dans la foi nous montrent combien la Parole de Dieu est à mettre en actes, dans l’ordinaire des jours.

Le point d’orgue du pèlerinage est Miséricorde – Eucharistie – Sainteté, le samedi 13 mai, fête de Notre Dame de Fatima, à Emmaüs.  

Nous emportons, dans nos valises, les prières de personnes que nous ‘emmenons’ avec nous. Dans la Messe d’Envoi, nous confierons à Jésus miséricordieux, ces intentions et toute l’humanité : « Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je vous aime. Je vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas, qui ne vous aiment pas » (Prière enseignée à Lucie, Jacinthe, et François - Fatima - printemps 2016).  

Et nous repartirons renouvelés, avec au cœur le désir de témoigner que « Sa Miséricorde s’étend d’âge en âge » (Lc 1, 50).















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Pèlerinage Miséricorde Ta Parole fait mes délices
Nous sommes des voyageurs sur terre Marie Cécile Dugué

Pèlerinage

Le mot pèlerin vient du latin peregrinus qui signifie l’homme qui parcourt, celui qui passe. C’est souvent sur la route, hors de leurs maisons, que le Seigneur fait signe à des hommes et des femmes, dans le Premier et le Nouveau Testament.

Le pèlerinage symbolise notre vie. Il est comme une métaphore qui nous rappelle que nous sommes des « voyageurs sur terre » (He 11, 13), en route vers la Jérusalem céleste, où Dieu nous attend.

Le pèlerinage est pour Dieu (cf. Ex 23, 14) qui nous a faits pour Lui : « Tu nous as fait pour toi, Seigneur, et notre cœur est sans repos tant qu’il ne demeure en Toi » (St Augustin - Les Confessions, I, 1).

Le pèlerinage est une expérience d’Église. Nous aurons l’occasion d’échanger, de nous émerveiller de ce que l’un ou l’autre vit au sein de sa famille, paroisse, quartier, travail, Visage de Miséricorde. Dans tel ou tel lieu, nous retrouverons d’autres chrétiens et nous rencontrerons des résidents du pays.

En Terre Sainte


Le début des pèlerinages vers la Terre Sainte remonte au début du IVe siècle. Au long des siècles, chaque pèlerin met ses pas dans ceux d’autres venus avant lui.

La spiritualité du chemin, celle de l’homme en marche s’enracine dans toute l’histoire du Peuple élu depuis Abraham prenant la route pour un pays qu’il ne connait pas, répondant avec confiance à l’Appel de Dieu. 


Les Juifs allaient, chaque année, en pèlerinage, à Jérusalem, fêter la Pâque au Temple, lieu où Dieu a choisi d’y faire habiter sa présence. Jésus lui-même accomplit plusieurs fois ce pèlerinage vers Jérusalem, haut lieu de la rencontre entre Dieu et l’homme ; « on appelle Sion : « Ma mère ! » car en elle, tout homme est né » (Ps 86, 5).

Miséricorde - Ta Parole fait mes délices

La Miséricorde de Dieu est pour tous. Jésus, le Visage de la Miséricorde, et les apôtres parcouraient les routes de Palestine, pèlerins infatigables, pour que tout homme, toute femme, tout enfant se sachent aimés de Dieu.

Pérégriner, Bible en main, aux lieux où La miséricorde de Dieu s’est révélée. Nous laisser saisir par la Beauté de Dieu « riche en Miséricorde » (Ep 2, 4), en sa création.

Chaque jour, les conférences du cardinal Philippe Barbarin nous permettront de découvrir la Miséricorde de Dieu à travers un parcours biblique. Celui « qui fait ses délices » de la Parole de Dieu, c’est-à-dire la médite et la met en pratique sera visité par l’Amour miséricordieux de Dieu.  Nos frères aînés dans la foi nous montrent combien la Parole de Dieu est à mettre en actes, dans l’ordinaire des jours.

Le point d’orgue du pèlerinage est Miséricorde – Eucharistie – Sainteté, le samedi 13 mai, fête de Notre Dame de Fatima, à Emmaüs.  

Nous emportons, dans nos valises, les prières de personnes que nous ‘emmenons’ avec nous. Dans la Messe d’Envoi, nous confierons à Jésus miséricordieux, ces intentions et toute l’humanité : « Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je vous aime. Je vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas, qui ne vous aiment pas » (Prière enseignée à Lucie, Jacinthe, et François - Fatima - printemps 2016).  

Et nous repartirons renouvelés, avec au cœur le désir de témoigner que « Sa Miséricorde s’étend d’âge en âge » (Lc 1, 50).















 
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