Le monde a besoin de miséricorde
Avec votre hospitalité typique
vous pouvez rencontrer les cœurs des personnes
Lundi 11 juillet, nous fêterons saint Benoît.
En cherchant, avec la grâce de Dieu, à vivre de façon miséricordieuse vous annoncez la fraternité évangélique à partir de tous vos monastères présents dans toutes les régions de la planète.
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C’est le Christ lui-même qui nous invite à être « miséricordieux comme le Père est miséricordieux » (Lc 6, 36) ; et vous êtes les témoins privilégiés de ce « comment », de cette « façon » miséricordieuse d’agir de Dieu. En effet, si c’est uniquement dans la contemplation de Jésus Christ que l’on saisit le visage de la miséricorde du Père (cf. Le Visage de la Miséricorde, n. 1), la vie monastique constitue une voie maîtresse pour faire cette expérience contemplative et la traduire en témoignage personnel et communautaire.
Le monde d’aujourd’hui montre toujours plus clairement qu’il a besoin de miséricorde ; mais celle-ci n’est pas un slogan ou une recette : c’est le cœur de la vie chrétienne et, dans le même temps, son style concret, le souffle qui anime les relations interpersonnelles et rend attentifs aux plus démunis et solidaires avec eux. C’est, en définitive, ce qui manifeste l’authenticité et la crédibilité du message dont l’Église est dépositaire et annonciatrice.
Or, à cette époque et dans cette Église appelée à viser toujours plus à l’essentiel, les moines et les moniales conservent par vocation un don particulier et une responsabilité spéciale : celle de garder vivantes les oasis de l’esprit, où pasteurs et fidèles peuvent puiser aux sources de la divine miséricorde. Pour cela, dans la récente Constitution apostolique La recherche du Visage de Dieu, je m’adresse ainsi aux moniales et, de manière plus large, à tous les moines : « Que la devise de la tradition bénédictine “ora et labora” soit pour vous encore et toujours valable, qu’elle vous enseigne à trouver un rapport équilibré entre la tension vers l’Absolu et l’engagement dans la responsabilité quotidienne, entre la quiétude de la contemplation et la diligence du service » (n. 32).
En cherchant, avec la grâce de Dieu, à vivre de façon miséricordieuse dans vos communautés, vous annoncez la fraternité évangélique à partir de tous vos monastères présents dans toutes les régions de la planète ; et vous le faites à travers ce silence actif et éloquent qui laisse parler Dieu dans la vie assourdissante et distraite du monde. Que le silence que vous observez et dont vous êtes les gardiens soit nécessairement « précédé d’un regard de foi qui accueille la présence de Dieu dans votre histoire personnelle, dans les frères et les sœurs que le Seigneur vous donne et dans les événements du monde contemporain » (ibid., n. 33). Même si vous vivez séparés du monde, votre clôture n’est pas stérile, au contraire, elle est « une richesse et non un obstacle à la communion » (ibid., n. 31).
Votre travail, en harmonie avec la prière, vous fait participer à l’œuvre créatrice de Dieu et vous rend « solidaires des pauvres qui ne peuvent vivre sans travailler » (ibid., n. 32).
(…)
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En cherchant, avec la grâce de Dieu, à vivre de façon miséricordieuse vous annoncez la fraternité évangélique à partir de tous vos monastères présents dans toutes les régions de la planète.
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C’est le Christ lui-même qui nous invite à être « miséricordieux comme le Père est miséricordieux » (Lc 6, 36) ; et vous êtes les témoins privilégiés de ce « comment », de cette « façon » miséricordieuse d’agir de Dieu. En effet, si c’est uniquement dans la contemplation de Jésus Christ que l’on saisit le visage de la miséricorde du Père (cf. Le Visage de la Miséricorde, n. 1), la vie monastique constitue une voie maîtresse pour faire cette expérience contemplative et la traduire en témoignage personnel et communautaire.
Le monde d’aujourd’hui montre toujours plus clairement qu’il a besoin de miséricorde ; mais celle-ci n’est pas un slogan ou une recette : c’est le cœur de la vie chrétienne et, dans le même temps, son style concret, le souffle qui anime les relations interpersonnelles et rend attentifs aux plus démunis et solidaires avec eux. C’est, en définitive, ce qui manifeste l’authenticité et la crédibilité du message dont l’Église est dépositaire et annonciatrice.
Or, à cette époque et dans cette Église appelée à viser toujours plus à l’essentiel, les moines et les moniales conservent par vocation un don particulier et une responsabilité spéciale : celle de garder vivantes les oasis de l’esprit, où pasteurs et fidèles peuvent puiser aux sources de la divine miséricorde. Pour cela, dans la récente Constitution apostolique La recherche du Visage de Dieu, je m’adresse ainsi aux moniales et, de manière plus large, à tous les moines : « Que la devise de la tradition bénédictine “ora et labora” soit pour vous encore et toujours valable, qu’elle vous enseigne à trouver un rapport équilibré entre la tension vers l’Absolu et l’engagement dans la responsabilité quotidienne, entre la quiétude de la contemplation et la diligence du service » (n. 32).
En cherchant, avec la grâce de Dieu, à vivre de façon miséricordieuse dans vos communautés, vous annoncez la fraternité évangélique à partir de tous vos monastères présents dans toutes les régions de la planète ; et vous le faites à travers ce silence actif et éloquent qui laisse parler Dieu dans la vie assourdissante et distraite du monde. Que le silence que vous observez et dont vous êtes les gardiens soit nécessairement « précédé d’un regard de foi qui accueille la présence de Dieu dans votre histoire personnelle, dans les frères et les sœurs que le Seigneur vous donne et dans les événements du monde contemporain » (ibid., n. 33). Même si vous vivez séparés du monde, votre clôture n’est pas stérile, au contraire, elle est « une richesse et non un obstacle à la communion » (ibid., n. 31).
Votre travail, en harmonie avec la prière, vous fait participer à l’œuvre créatrice de Dieu et vous rend « solidaires des pauvres qui ne peuvent vivre sans travailler » (ibid., n. 32).
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